Avec Fabienne

Une grande amie d’école m’avait invité à passer quelques jours en Corse, dans le petit village natal de ses parents. Cette amie, c’était Fabienne, une superbe brune aux gros seins et au cul de rêve. Elle savait très bien que je la désirais depuis longtemps, mais elle n’avait jamais cédé à mes avances jusqu’à ce qu’on soit en vacances tous les deux !

Fabienne ne portait plus que des jupes très courtes et des vêtements mettant en valeur sa grosse poitrine. Ce jour là, il était environ 14h00. Fabienne était assise à la fenêtre et moi j’étais assis dans le sofa juste en face d’elle. Comme le sofa était à même le sol, j’avais une vue magnifique sur les cuisses de Fabienne. Elle portait une minijupe et des bas blancs. Je
n’arrêtais pas de mater comme un porc, sentant entre mes jambes ma queue gonflée à bloc et toute mouillée d’excitation. Ses parents partirent alors tout l’après-midi pour aller voir la grand-mère qui vivait à l’autre bout du village, nous laissant donc parfaitement seuls. À peine eurent-ils fermé la porte de la maisonnette que Fabienne écarta outrageusement les cuisses devant moi, posant sa jambe droite sur la petite table, les yeux fixés au dehors. Je voyais parfaitement sa culotte blanche qui ne cachait pas du tout les poils noirs et frisés de sa belle chatte. Elle me dit alors, sans tourner le regard vers moi : 

– Montre-moi ta belle bite !

Ôtant mon tee-shirt, mon short et mon slip, j’étais désormais complètement à poil. Et prenant ma bite à pleine main, je commençai à me masturber en la matant comme un chien. Je fixais du regard son entrecuisse dont les bas blancs m’excitaient énormément. Ils faisaient contraste avec la peau bronzée de ses jambes, à la jonction desquelles il y avait sa belle chatte, gonflée d’excitation. Voyant ses parents s’éloigner, elle tourna enfin la tête vers moi, gardant la même position. Elle matait ma main qui remuait sur le manche de ma belle queue. Je la décalottai alors devant elle, la peau glissant merveilleusement sur mon gland trempé et luisant de mouille. Cela fit clapoter ma bite, ce qui prouvait à quel point Fabienne m’excitait. Elle gonflait sa poitrine pour m’exalter encore plus. Elle était ainsi immobile devant moi, fixant ma queue entre mes mains et me regardait jouir. Elle me dit alors, d’une voix sensuelle et chargée de désir : 

– Oui ! C’est ça ! Fais-toi jouir ! Montre-moi que tu as une belle bite pour que je te la suce !

Ces paroles me faisaient jouir deux fois plus fort. Je regardais un instant ma queue qui était plus gonflée que jamais. Alors, Fabienne me demanda d’approcher. Je me levai immédiatement, et tenant toujours mon pieu à pleine main, j’arrivai à elle. Là, elle prit ma bite dans sa main. Sentant ainsi la main étrangère de Fabienne sur mon sexe, je crus un instant que j’allais lui décharger tout mon foutre dessus. Elle me fit approcher pour qu’elle puisse me sucer. Là, elle ouvrit la bouche en grand et avala ma queue jusqu’à sa moitié, sa main tenant l’autre moitié. Puis elle serra les lèvres dessus et la retira lentement de sa bouche humide. Sentant ainsi ses lèvres se refermer sur mon sexe et sa langue glisser contre mon prépuce, je ne pus m’empêcher de lâcher un grand râle de jouissance. Elle me suçait comme une reine, avec plein de délicatesse. Elle levait les yeux vers moi de temps en temps, me léchait ainsi le gland comme une salope. Cela m’excitait aussi énormément. Je sentais mon gland entre ses lèvres, ainsi que sa main masturber lentement et doucement le manche de ma queue. C’était un régal pour ma bite qui n’avait jamais joui ainsi. Je regardais ma pine s’engouffrer dans sa bouche et en ressortir toute mouillée de salive. De temps à autre, je caressais les gros seins de Fabienne par-dessus son body en laine. Elle ne portait pas de soutif et ses pointes restaient durcies par l’excitation. Le fait de peloter de si beaux seins tout en me faisant pomper le dard me faisait jouir comme un fou. Je sentais tout le sang remonter à ma tête : j’étais en chaleur totale. Je me penchai alors pour lui caresser la chatte. Passant ma main droite sous la culotte, je sentis tout d’abord les longs poils de son pubis, puis…


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